Unique participatory action and art event at the Tate Modern gallery, Feb. 3rd 2013 - which involves an unusual form of life story telling. If you are an older woman - you are invited to participate! Alternatively, you may want to be involved as a supporter.
Le blog de la Société française d'études anglophones sur les femmes le sexe et le genre (SAGEF) est conçu comme son outil de communication et de mise en commun de ressources pour les anglicistes travaillant sur les notions de genre, de sexe et de femmes
vendredi 21 décembre 2012
Live performance at the Tate Modern - Suzanne Lacy
mercredi 19 décembre 2012
Women Make Movies
Traditional end of year offer of the non-profit distributor of films by and about women: buy one get one free.
Click here!
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mardi 18 décembre 2012
Le Curé est une femme (suite)
Avec un peu de retard, voici le lien qui vous permettra de voir ou de revoir la présentation qu'Eglantine Jamet-Moreau a fait de son ouvrage dans l'émission "Le grand 8" (D8) le 29 octobre dernier.
vendredi 26 octobre 2012
University of Birmingham : workshop 'Genre, Gender and Identity'
The second Genre Studies Network (GSN) workshop 'Genre, Gender and Identity' will take place at Room 121, Muirhead Tower, University of Birmingham, on 24 November (the flier with further info is attached).
Speakers will discuss gender and identity in both literary and non-literary genres including biography, biofiction, popular romance, apocalyptic fiction, lyric poetry, digital genres, English language dictionary and children's picturebooks.
The workshop is free but places are limited. If you wish to attend it please contact Natasha Rulyova at n.e.rulyova(a)bham.ac.uk
jeudi 25 octobre 2012
Femmes, féminisme, recherches : 30 ans après
Manifestation jeunes chercheurs
Toulouse, 14-15 décembre 2012
Toulouse, 14-15 décembre 2012
Du 17 au 19 décembre 1982, se tenait à Toulouse le colloque intitulé « Femmes, féminisme et recherches ». Considéré comme « l’acte de naissance quasi ritualisé du champ des recherches sur les femmes » (Lagrave, 1990 : 31), il s’agissait de la première manifestation scientifique d’ampleur faisant le panorama d’un champ interdisciplinaire en plein essor, nommé alors « les études féministes » ou les « études femmes ». Près de 800 chercheuses et militantes étaient venues écouter 140 communications réparties en 21 ateliers. Les Actes, édités deux ans plus tard, faisaient plus de 1000 pages. Ouverte par Maurice Godelier, directeur du département sciences de l’homme et de la société du CNRS, et par Yvette Roudy, Ministre des droits de la femme, cette manifestation a marqué le début du processus d’institutionnalisation d’un champ de connaissance issu du mouvement de libération des femmes. Dans le contexte favorable du premier gouvernement Mitterrand, d’autres signes de reconnaissance institutionnelle ont accompagné ce colloque : le financement d’ateliers thématiques programmés au CNRS et la création de postes fléchés, dont l’Université de Toulouse le Mirail a bénéficié. Trente ans plus tard et sur le même lieu, nous voulons revenir sur cet événement scientifique et militant majeur.
Le traitement de la violence de genre en histoire
Table-ronde organisée par Claire Chatelain (UMR CNRS IRHiS-Lille 3)
C’est un fait : le thème de la violence est devenu un sujet important en histoire moderne. Il a acquis sa légitimité depuis une dizaine d’années. A la suite d’un appel qui a fait date, lancé dans la foulée d’une campagne nationale contre la violence faite aux femmes, des historiennes du genre depuis longtemps sensibilisées à cette question ont fait émerger le thème de la violence « mixte » comme axe programmatique de nombreux travaux de recherche. La première enquête nationale de la violence envers les femmes en France (ENVEFF) dont les résultats sont parus en 2000, a suscité d’intenses discussions autour de colloques et tables rondes diverses qui ont tenté de spécifier le sujet pour la discipline historique, de circonscrire les possibilités d’atteindre de façon méthodique les phénomènes de violence de genre dans les sources disponibles.
Dans cet environnement historiographique et sociétal, est-il possible de proposer une utilisation raisonnée de notions et/ou de démarches issues de la métapsychologie afin d’approfondir l’enquête historique sur ce sujet de la violence de genre ?
9 NOVEMBRE 2012
EHESS, Salle Denys Lombard 96 bd Raspail, 75006 Paris
EHESS, Salle Denys Lombard 96 bd Raspail, 75006 Paris
Séminaire ELIGES : L'affaiblissement du modèle du "male breadwinner"
La prochaine séance du séminaire ELIGES
(équipe lilloise genre et sociétés), accueillera Nicky Lefeuvre, professeure de sociologie à l'Université de
Lausanne (Suisse), qui parlera de
L'affaiblissement du modèle du "male
breadwinner": Quels défis pour les études genre?
Cette présentation propose d'explorer deux
questions. D'une part, les éléments qui permettent de valider (ou pas) une
reconfiguration des "régimes de genre" en Europe, caractérisé,
notamment, par le passage d'un modèle du "male breadwinner" à celui de nouveaux dispositifs d'action
publique fondés sur la modèle normatif de "l'adult worker". D'autre part, les implications de cette
transition (normative et/ou réelle) pour la manière d'appréhender les rapports
d e genre et la division sexuelle du travail dans les recherches sociologiques.
lundi
19 novembre 2012 de 14 heures à 16h30
salle A4 122 (bâtiment A, labo Psitec, UFR de Psycho, escalier bleu à
partir du hall d'entrée principal, 4e étage/5 étages)
vendredi 19 octobre 2012
CFP Atelier Sagef / Congrès SAES 2013
Appel à communication de la SAGEF pour l'atelier "Femmes, sexe, genre" du Congrès de la SAES qui aura lieu à Dijon du 17 au 19 mai 2013.
Pour la quatrième année consécutive, un atelier « femmes, sexe, genre » sera organisé lors du Congrès de la SAES. Le thème est « Appellations/Naming, Labelling, Addressing ».
La SAGEF propose de s'intéresser aux questions suivantes dans une perspective transhistorique, transdisciplinaire et transnationale. Il va de soi que la liste ci-dessous n'est pas exhaustive et que toute proposition en lien avec le thème est la bienvenue.
Qu'entend-on par femmes, sexe, genre?
« What's in a name? » / Que signifie « nommer », catégoriser, identifier, étiqueter, conférer une existence etc.?
Dans quelles mesures les appellations, les noms façonnent-ils nos représentations, nos perceptions du genre, de la sexualité et plus largement de l'organisation sociale?
Peut-on nommer l'innommable ? Comment nomme-t-on l'innommable?
Comment nommer ce qui n'a pas de nom? Comment crée-t-on des néologismes?
Vulgarité, insultes genrées, quelle signification? Quel impact?
Pourquoi se réapproprier des insultes? (ex: « Slut walks », « queer » « lezzie » etc.) / Acte militant? Quel impact? Quelle efficacité?
Que signifie l'adoption, par une auteure, d'un pseudonyme masculin/neutre ou par un auteur, d'un pseudonyme féminin ?
Formules de politesse : Mrs/Ms/Other - Madam/Lady/Dame - Gentlewoman/Gentleman, vers un effacement des classes sociales? Vers une binarité équitable? Vers un troisième genre? Vers la suppression du genre?
Quel sens donner à la variabilité du féminin, masculin et du neutre dans la langue anglaise d'une époque à l'autre ou d'un pays/d'une région à une autre? (ex: lads est genré masculin en Angleterre mais est neutre en Irlande)
Nous vous invitons à envoyer vos propositions de communication (400 mots maximum) accompagnées d'un court CV à la SAGEF : sagef(a)eila.univ-paris-diderot.fr d'ici le 25 NOVEMBRE, délai de rigueur.
Pour la quatrième année consécutive, un atelier « femmes, sexe, genre » sera organisé lors du Congrès de la SAES. Le thème est « Appellations/Naming, Labelling, Addressing ».
La SAGEF propose de s'intéresser aux questions suivantes dans une perspective transhistorique, transdisciplinaire et transnationale. Il va de soi que la liste ci-dessous n'est pas exhaustive et que toute proposition en lien avec le thème est la bienvenue.
Qu'entend-on par femmes, sexe, genre?
« What's in a name? » / Que signifie « nommer », catégoriser, identifier, étiqueter, conférer une existence etc.?
Dans quelles mesures les appellations, les noms façonnent-ils nos représentations, nos perceptions du genre, de la sexualité et plus largement de l'organisation sociale?
Peut-on nommer l'innommable ? Comment nomme-t-on l'innommable?
Comment nommer ce qui n'a pas de nom? Comment crée-t-on des néologismes?
Vulgarité, insultes genrées, quelle signification? Quel impact?
Pourquoi se réapproprier des insultes? (ex: « Slut walks », « queer » « lezzie » etc.) / Acte militant? Quel impact? Quelle efficacité?
Que signifie l'adoption, par une auteure, d'un pseudonyme masculin/neutre ou par un auteur, d'un pseudonyme féminin ?
Formules de politesse : Mrs/Ms/Other - Madam/Lady/Dame - Gentlewoman/Gentleman, vers un effacement des classes sociales? Vers une binarité équitable? Vers un troisième genre? Vers la suppression du genre?
Quel sens donner à la variabilité du féminin, masculin et du neutre dans la langue anglaise d'une époque à l'autre ou d'un pays/d'une région à une autre? (ex: lads est genré masculin en Angleterre mais est neutre en Irlande)
Nous vous invitons à envoyer vos propositions de communication (400 mots maximum) accompagnées d'un court CV à la SAGEF : sagef(a)eila.univ-paris-diderot.fr d'ici le 25 NOVEMBRE, délai de rigueur.
jeudi 18 octobre 2012
Séminaire "Femmes et engagement" - UCP
L’UFR Langues et Etudes Internationales de l’Université de Cergy-Pontoise (UCP) met en place un séminaire « Femmes et engagement » à partir de janvier 2013. Parmi les multiples objectifs de ce projet, il s’agit de donner une visibilité et une légitimité aux études sur les femmes et le genre à l’UCP, qui fait partie de la Fédération de Recherche sur le Genre (RING), et de permettre aux chercheures et chercheurs de champs disciplinaires différents de croiser leurs approches méthodologiques autour des problématiques communes sur le genre.
Ce séminaire se propose, dans une approche pluridisciplinaire et comparée, de mener une réflexion sur la spécificité de l’engagement des femmes au XXe et XXIe siècles. Il a pour objectif scientifique l’identification et l’analyse, sous le prisme conceptuel du genre, des formes plurielles de l’engagement des femmes au sens large, qu’il soit politique, syndical, associatif, professionnel, culturel, artistique ou littéraire.
Thèmes envisagés :
Origines de l’engagement
Modalités de l’engagement
Gouvernance genrée
Femmes/guerres/révolutions/organisations politico-militaires
Voix « alternatives »
Nouvelles formes d’engagement
Perspective littéraire et/ou artistique
« Les femmes et la langue, les femmes dans la langue »
Interviendront dans le séminaire aussi bien des enseignants-chercheur-e-s appartenant à différentes UFR de l’UCP que des chercheur-e-s extérieur-e-s.
Afin d’élaborer un programme de travail pour le semestre prochain, nous faisons donc appel à votre collaboration et vous remercions, si vous êtes intéressé-e-s, de bien vouloir faire parvenir vos propositions (statut, titre, résumé de maximum 10 lignes), pour le 30 novembre 2012. Un calendrier précis sera ensuite élaboré en fonction des thématiques, champs disciplinaires et géographiques abordés.
Pour obtenir le texte de cadrage :
Karine Bergès (MCF Civilisation Espagne XXe) :
karine.berges(a)u-cergy.fr
Alexandrine Guyard-Nedelec (MCF civilisation britannique XXe) :
alexandrine.guyard-nedelec(a)u-cergy.fr
Page Facebook : www.facebook.com/SeminaireFemmesEtEngagement
mercredi 17 octobre 2012
Littérature anglo-saxonne au féminin
Disponible depuis juillet chez l'Harmattan, le dernier ouvrage né des ateliers de la Sagef au congrès de la SAES : Littérature anglo-saxonne au féminin, sous la direction de Claire Bazin et Guyonne Leduc.
Remerciements ……………………………………………….9
Préface de Jean-Jacques Lecercle (Paris 10)……………... 11
PREMIÈRE PARTIE : (Re)naissance(s)
" Renaissance de / chez Eliza Haywood "
Anne Bandry-Scubbi (Strasbourg) ……………………... 17
" Le Voyage de Helen Maria Williams, A Tour in Switzerland : Naissance, re-naissance et survivance d'une écriture "
Stéphanie Gourdon (Lyon 2) ………………………………. 41
" Mary Gulliver, an Emblem of Sexual Rebirth ? "
Ruth Menzies (Aix-Marseille 1) ………………………… 55
" 'Cage-born instincts' : La Femme par nature dans The Daughters of Danaus (1894) de Mona Caird "
Nathalie Saudo-Welby (Amiens) ………………………... 69
" Stratégies de survie, danse et re-naissance dans The Fire-Dwellers de Margaret Laurence "
Chantal Arlettaz (Nice) ……………………………………... 85
DEUXIÈME PARTIE : Horizons
" 'Just for Adventure and Excitement'. L'Aventure textuelle de Calamity Jane "
Chloé Beccaria (Aix-en-Provence) ……………………… 105
" La Nouvelle mansfieldienne et l'horizon intime féminin "
Delphine Soulhat (Lyon 2) ……………………………. 117
" Gendering the Horizons of Modernism : The Example of Djuna Barnes "
Margaret Gillespie (Franche-Comté) …………………. 131
" Liz Jensen's The Rapture : Journeying to Bethanyland "
Helen Esther Mundler (Paris 12) ……………………... 145
lundi 15 octobre 2012
Collection "Penser le genre"
Présentation du 1er livre dans la collection "Penser le Genre", PUP, par l’auteure :
Karine Lambert, Itinéraires féminins de la déviance. Provence 1750-1850, PUP, 2012
Responsables de la collection : Randi Deguilhem (TELEMME-MMSH, Aix-en-Provence) et Laurence Hérault (Aix-Marseille Université/IDEMEC-MMSH, Aix-en-Provence).
mardi 16 octobre 2012, 18h30, Cité du livre-bibliothèque Méjanes, Aix-en-Provence
Karine Lambert, Itinéraires féminins de la déviance. Provence 1750-1850, PUP, 2012
Responsables de la collection : Randi Deguilhem (TELEMME-MMSH, Aix-en-Provence) et Laurence Hérault (Aix-Marseille Université/IDEMEC-MMSH, Aix-en-Provence).
mardi 16 octobre 2012, 18h30, Cité du livre-bibliothèque Méjanes, Aix-en-Provence
jeudi 20 septembre 2012
Le Curé est une femme / E. Jamet-Moreau
Vient de paraître:
Églantine Jamet-Moreau, Le Curé est une femme. L'ordination des femmes à la prêtrise dans l'Eglise d'Angleterre
Préface d'Emmanuel Le Roy Ladurie
L'Harmattan, Coll. Des idées et des femmes, 326 p.
Il y a vingt ans, en novembre 1992, l’Église d’Angleterre mit un terme à la tradition séculaire d’une prêtrise exclusivement masculine en prenant la décision d’ouvrir le sacerdoce aux femmes. Près d’un siècle de combat fut nécessaire pour que l’Église accepte cette évolution et les débats qui ponctuèrent cette longue marche furent âpres et virulents. Aujourd’hui encore, alors que les femmes pourraient prochainement accéder à l’épiscopat en Angleterre, l’Église anglicane tout entière est divisée entre les partisans et les opposants de la prêtrise féminine.
Cette question est fortement polémique car elle remet en cause la répartition des rôles des deux sexes dans la tradition chrétienne et qu’elle permet aux femmes d’accéder à un domaine réservé du masculin. À l’heure où la sphère du sacré semble, plus que toute autre, résister aux tentatives de déconstruction de la hiérarchie des sexes, les quarante femmes prêtres qui témoignent dans cet ouvrage sont autant de preuves vivantes de la richesse et de la complexité d’un ministère mixte que refuse toujours, obstinément, l’Église de Rome.
Colloque international VERNON LEE - Florence
VIOLET DEL PALMERINO : le 'salon' cosmopolite de Vernon Lee à Florence, 1889-1935"
Florence (Italie), 27-28 septembre 2012.
Responsables scientifiques:
Prof. Serena Cenni, Professeure de Littérature Anglaise à la Faculté des Lettres et de Philosophie de l’Université de Trente), organisatrice et responsable scientifique de 3 colloques internationaux organisés en partenariat avec le Conseil Régional de Toscane;
Prof. Sophie Geoffroy, Professeure de Littérature Anglaise et Américaine à l’Université de La Réunion, directrice de la revue The Sibyl, Journal of Vernon Lee Studies, directrice adjointe du laboratoire Oracle, fondatrice de l’Association Indianocéanique pour la Recherche, le Rayonnement et le Développement de la Pensée du Féminin (Niama), organisatrice de colloques
internationaux (Darwin; Genre et Transmission…)
Dr. Elisa Bizzotto, chercheure en Littérature Anglaise à l’Université de Venise.
Dès sa plus tendre enfance, et jusqu’à la fin de sa vie, Vernon Lee voyagea.
Franchissant les frontières de l’espace et du temps, évoluant avec aisance dans tous les milieux, d’abord avec sa famille, plus tard seule ou avec des amis, chez qui elle séjourne et qu’elle accueille en retour chez elle, à Florence. Selon les aléas de l’Histoire, les caprices du cœur, ses projets en cours, son état de santé. Au gré de sa fantaisie et de celle de ses hôtes.
Son installation à la Villa Il Palmerino de 1889 à 1935 ne modifie guère son nomadisme éclairé, mais lui permet de construire, à deux pas du centre ville de Florence, un hâvre de paix et de beauté où les amis sont les bienvenus. En ce lieu unique qui devient un véritable salon littéraire cosmopolite, carrefour et creuset de la vie intellectuelle et culturelle européenne, se pressent autour d’elle écrivains, intellectuels, artistes et scientifiques attirés par la verve et la vaste culture de Vernon Lee, la force visionnaire de ses analyses et son art de la conversation sur les sujets les plus divers.
1889-1935
Si l’ambiance est particulièrement stimulante pour de jeunes esprits, tous les visiteurs témoignent de la force et de la séduction exceptionnelles d’une maîtresse de maison dont le charme est d’autant plus magnétique qu’il se nourrit de la présence du genius loci, cet esprit des lieux qui émane des collines tranquilles de Fiesole.
Certains de ces voyageurs et visiteurs sont célèbres : Oscar Wilde, Edith Wharton, Bernard Berenson, Aldous Huxley, John Singer Sargent, Telemaco Signorini, Mario Praz.
D'autres sont moins présents dans les études critiques portant sur l’œuvre et la vie de l’écrivaine anglaise : l'économiste Lujo Brentano, le couple de peintres Berthe et André Noufflard, l’archéologue Eugène Sellers, le psychologue Charles Strong, le poète et peintre Cesare Pascarella, l'écrivaine Elizabeth Robins, l'artiste Joseph Pennell, l'écrivaine et féministe Charlotte Perkins Stetson, la poétesse Maria Waser…
Ce colloque a précisément pour objectif de mettre en lumière les rapports de Vernon Lee avec ses invités à la Villa Il Palmerino et de brosser un portrait de l’hôtesse telle que ses visiteurs ont pu la connaître : non pas uniquement l'auteure en résidence, mais aussi la femme au cœur d’un vaste réseau d’amitiés intellectuelles, artistiques, scientifiques et politiques. Seront donc privilégiées les communications portant sur la personnalité, la correspondance et les écrits de ses visiteurs apportant un témoignage de la présence à la Villa Il Palmerino de Vernon Lee, âme de la maison et du jardin, des sentiers, des champs et des collines environnants.
Au cours du colloque sera projeté un film inédit montrant Vernon Lee entre 1926 et 1934 chez des amis proches, également habitués de la Villa Il Palmerino.
Comité d’organisation
Associazione Culturale Il Palmerino
Niama , Association Indianocéanique pour la Recherche, le Rayonnement et le
Développement de la Pensée du Féminin
Fondation André et Berthe Noufflard
The British Institute of Florence
Institut Français de Florence
Pôle Image de Haute-Normandie
Laboratoire ORACLE
Pour obtenir le programme en version pdf, contacter Sophie Geoffroy : sophiegeoffroy632(a)yahoo.fr
Les Actes du colloque seront publiés dans The Sibyl.
D'autres rencontres et ateliers sont prévus, vous serez informés de leur calendrier prévisionnel.
D'autres rencontres et ateliers sont prévus, vous serez informés de leur calendrier prévisionnel.
jeudi 13 septembre 2012
CFP - JE Photo/femmes/nations
Appel à communication / Call for papers
Journée d’étude, 22 mars 2013
Centre de Recherche sur les Identités Nationales et l'Interculturalité (CRINI)
Faculté des Langues et Cultures Etrangères
Université de Nantes
« Représentation des nations américaine et britannique dans la photographie de femme et les travaux contemporains de femmes photographes »
Cette journée d’études propose de prendre part à un événement interdisciplinaire rassemblant des chercheurs engagés dans l’étude de la photographie, dans les études de genre, les études culturelles, visuelles, l’art et l’histoire. La photographie de femme et les travaux de femmes photographes contemporaines seront considérés sous divers éclairages (que ce soit pour documenter, pour enregistrer des événements historiques, des changements sociaux, pour souligner des caractéristiques anthropologiques, sur fond de paysages naturels ou urbains, qu’il s’agisse de portraits, de scènes de crime, d’objets d’art contemporain ou d’outils publicitaires), illustrant et donnant voix à l’américanicité et à la britannicité, explorant les potentialités de la photographie pour définir ou recadrer la notion de nation.
Partant du postulat de Benedict Anderson selon lequel « les communautés doivent être distinguées, non par leur fausseté/authenticité, mais par le style selon lequel elles sont imaginées » (Imagined Communities, 1983), la représentation visuelle de la nation en photographie est cruciale pour comprendre l’idée de sentiment d’appartenance. Cette première journée d’études s’intéressera à l’interrelation entre identité nationale et représentation de la femme, ainsi qu’au rôle des femmes en tant que créatrices d’images engagées dans la compréhension/la perception/la formulation de la nation. Comment la photographie peut-elle construire/modifier/**déconstruire la nation et un sentiment d’appartenance corrélé ? Comment la photographie féminine/féministe peut-elle contribuer à/déconstruire ce sentiment d’appartenance ? Comment la nation est-elle représentée dans ces photographies de/par des femmes (iconicité, résonnances, femmes en tant que sujets/objets/modèles/muses sur- ou dé-esthétisés, etc.), et pour qui (l’autre, le monde, le citoyen, le soi) ?
L’hypothèse de la vérité photographique et de l’(im)possibilité même de la représentation sont souvent mises en question, puisque la représentation photographique est partiale, fragmentée et peut-être illusoire. Cette journée d’études se concentrera sur l’ambiguïté même de la photographie, sur le médium et l’environnement dans lequel elle se situe, sur l’intention consciente ou inconsciente des faiseurs ou faiseuses d’images, et sur les contextes divers qui mènent à des lectures multiples, tandis que le processus photographique reste constamment ouvert à l’expérimentation. La photographie est un mode de représentation créatif et technologique dont les hommes ou les femmes photographes américains et britanniques ont acquis la maîtrise, soulevant des questions essentielles et d’actualité, telles que la définition du genre et ses intersections avec la sexualité, la race, la classe, la nationalité.
Chaque photographie à laquelle nous sommes confronté est une image dynamique, polysémique, qui a sa propre intégrité, mais qui peut aussi être réinterprétée à travers de nouvelles connections et juxtapositions issues de l’expérience du spectateur, liées à sa mémoire, son sentiment d’identification nationale ou d’appartenance au genre féminin ou masculin, servant de filtre à travers lequel l’information visuelle est perçue (théories de la réception esthétique).
Les contextes sociaux, politiques et historiques participent de la construction et de la lecture de la nation telle qu’elle est articulée autour de la représentation des femmes. L’incarnation par la femme de la domesticité, avec l’évolution du rôle des femmes dans la sphère publique, ou le corps de la femme comme allégorie de la nation, sont-elles des notions encore recevables ou redéfinissables ? D’autres images de la nation incarnée par les femmes ont-elles émergées durant des moments spécifiques et sous certaines conditions : contre-culture des années 60, conservatisme des années Reagan et Thatcher, « Cool Britannia », après-11 septembre, « War on Terror » dans un climat anti-terroriste, etc. ?
Les orientations suggérées ici sont non-exhaustives et ne sont que des pistes possibles. Les propositions peuvent être diachroniques (s’intéressant à des périodes plus ou moins longues), synchroniques (études d’œuvres sérielles, individuelles, monographiques, pour illustrer des concepts plus larges selon des approches disciplinaires variées), ou comparatives (en particulier pour mettre l’accent sur les caractéristiques partagées entre photographie américaine et britannique).
Les propositions seront constituées d’un résumé en anglais de 300 mots et d’une courte note biographique à adresser à jane.bayl(a)univ-nantes.fr etjulie.morere(a)univ-nantes.fr avant le 15 novembre 2012.
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Workshop, 22nd March 2013
Centre de Recherche sur les Identités Nationales et l'Interculturalité (CRINI)
Faculté des Langues et Cultures Etrangères
Université de Nantes
“Representing the British and American Nations in Contemporary Photography of Women and Women Photographers’ Works”
This one-day conference is an opportunity to take part in an interdisciplinary event gathering researchers engaged in the study of photography, women, gender, cultural and visual studies, art theory and history. Photography of women and women photographers’ works will be considered in their various uses – whether it is to document, to record historical events, social changes, anthropological features; to depict landscapes, cityscapes, portraits, crime scenes; as contemporary art or as a marketing tool, etc. – picturing and voicing out Americanness and Britishness and exploring the potentialities of photography to define or reframe the nation.
In accepting Benedict Anderson’s postulate that “communities are to be distinguished, not by their falsity/genuineness, but by the style in which they are imagined,” (Imagined Communities, 1983), the visual representation of the nation in photography is critical in the understanding of belonging. This first conference will be interested in observing the interrelationship between national identity and representations of women as well as the role of women image-makers engaging in understanding/perceiving/**formulating the nation. How may photography build/modify/deconstruct the nation and a related sense of belonging? How can feminine/feminist photography contribute to/deconstruct this sense of belonging? How is the nation represented in these pictures of/by women (iconicity, resonances, women as over- or de- aesthecized subjects/objects/models/muses, etc.) and for whom (the other, the world, the citizen, the self)?
Assumptions of photographic truth and the very (im)possibility of representation are often questioned, as photographic representation is partial, fragmented, and perhaps illusory. The focus of this conference will be on the very ambiguity of the photograph itself, the medium/environment within which it is located, the image-maker’s conscious/unconscious intent and the various contexts which lead to multiple readings as photography is constantly open to experimentation. It is a creative and technological mode of representation that male or female pioneering photographers in the US and the UK have mastered, raising vibrant issues such as the formation of gender and its intersections with sexuality, race, class, nationality.
Every photograph that confronts us is a polysemous, dynamic image and has its own integrity but it can also be re-interpreted through new connections and juxtapositions related to the viewer’s experience, to his memory and sense of national identification/gender belonging, which serves as a filter through which visual information is understood (viewer response approach).
The social, political and historical contexts participate in the constructing and reading of the nation as articulated through representations of women. With the evolution of women’s role in the public sphere, is women’s embodiment of domesticity and the female body as allegory of the nation still prevalent and defining? Have other images of the nation through the embodiment of women emerged during specific moments and under certain conditions: the counter culture of the 60s, the conservative years of Reagan and Thatcher, “Cool Britannia” or post 9/11 and the “War on Terror”, etc.?
The orientations suggested here are non-exhaustive and should only be starting points. Proposals may be diachronic (charting short or long term trends), synchronic (focusing on case studies whether they are serial photography or single-image photography to illustrate wider concepts in various disciplinary fields), or comparative (especially to emphasize shared features which characterise UK and US photography).
We welcome 300-word abstracts in English to be sent together with a short biographical note via email to jane.bayly(a)univ-nantes.fr and julie.morere(a)univ-nantes.fr.
Deadline for submission: 15th November 2012
Journée d’étude, 22 mars 2013
Centre de Recherche sur les Identités Nationales et l'Interculturalité (CRINI)
Faculté des Langues et Cultures Etrangères
Université de Nantes
« Représentation des nations américaine et britannique dans la photographie de femme et les travaux contemporains de femmes photographes »
Cette journée d’études propose de prendre part à un événement interdisciplinaire rassemblant des chercheurs engagés dans l’étude de la photographie, dans les études de genre, les études culturelles, visuelles, l’art et l’histoire. La photographie de femme et les travaux de femmes photographes contemporaines seront considérés sous divers éclairages (que ce soit pour documenter, pour enregistrer des événements historiques, des changements sociaux, pour souligner des caractéristiques anthropologiques, sur fond de paysages naturels ou urbains, qu’il s’agisse de portraits, de scènes de crime, d’objets d’art contemporain ou d’outils publicitaires), illustrant et donnant voix à l’américanicité et à la britannicité, explorant les potentialités de la photographie pour définir ou recadrer la notion de nation.
Partant du postulat de Benedict Anderson selon lequel « les communautés doivent être distinguées, non par leur fausseté/authenticité, mais par le style selon lequel elles sont imaginées » (Imagined Communities, 1983), la représentation visuelle de la nation en photographie est cruciale pour comprendre l’idée de sentiment d’appartenance. Cette première journée d’études s’intéressera à l’interrelation entre identité nationale et représentation de la femme, ainsi qu’au rôle des femmes en tant que créatrices d’images engagées dans la compréhension/la perception/la formulation de la nation. Comment la photographie peut-elle construire/modifier/**déconstruire la nation et un sentiment d’appartenance corrélé ? Comment la photographie féminine/féministe peut-elle contribuer à/déconstruire ce sentiment d’appartenance ? Comment la nation est-elle représentée dans ces photographies de/par des femmes (iconicité, résonnances, femmes en tant que sujets/objets/modèles/muses sur- ou dé-esthétisés, etc.), et pour qui (l’autre, le monde, le citoyen, le soi) ?
L’hypothèse de la vérité photographique et de l’(im)possibilité même de la représentation sont souvent mises en question, puisque la représentation photographique est partiale, fragmentée et peut-être illusoire. Cette journée d’études se concentrera sur l’ambiguïté même de la photographie, sur le médium et l’environnement dans lequel elle se situe, sur l’intention consciente ou inconsciente des faiseurs ou faiseuses d’images, et sur les contextes divers qui mènent à des lectures multiples, tandis que le processus photographique reste constamment ouvert à l’expérimentation. La photographie est un mode de représentation créatif et technologique dont les hommes ou les femmes photographes américains et britanniques ont acquis la maîtrise, soulevant des questions essentielles et d’actualité, telles que la définition du genre et ses intersections avec la sexualité, la race, la classe, la nationalité.
Chaque photographie à laquelle nous sommes confronté est une image dynamique, polysémique, qui a sa propre intégrité, mais qui peut aussi être réinterprétée à travers de nouvelles connections et juxtapositions issues de l’expérience du spectateur, liées à sa mémoire, son sentiment d’identification nationale ou d’appartenance au genre féminin ou masculin, servant de filtre à travers lequel l’information visuelle est perçue (théories de la réception esthétique).
Les contextes sociaux, politiques et historiques participent de la construction et de la lecture de la nation telle qu’elle est articulée autour de la représentation des femmes. L’incarnation par la femme de la domesticité, avec l’évolution du rôle des femmes dans la sphère publique, ou le corps de la femme comme allégorie de la nation, sont-elles des notions encore recevables ou redéfinissables ? D’autres images de la nation incarnée par les femmes ont-elles émergées durant des moments spécifiques et sous certaines conditions : contre-culture des années 60, conservatisme des années Reagan et Thatcher, « Cool Britannia », après-11 septembre, « War on Terror » dans un climat anti-terroriste, etc. ?
Les orientations suggérées ici sont non-exhaustives et ne sont que des pistes possibles. Les propositions peuvent être diachroniques (s’intéressant à des périodes plus ou moins longues), synchroniques (études d’œuvres sérielles, individuelles, monographiques, pour illustrer des concepts plus larges selon des approches disciplinaires variées), ou comparatives (en particulier pour mettre l’accent sur les caractéristiques partagées entre photographie américaine et britannique).
Les propositions seront constituées d’un résumé en anglais de 300 mots et d’une courte note biographique à adresser à jane.bayl(a)univ-nantes.fr etjulie.morere(a)univ-nantes.fr avant le 15 novembre 2012.
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Workshop, 22nd March 2013
Centre de Recherche sur les Identités Nationales et l'Interculturalité (CRINI)
Faculté des Langues et Cultures Etrangères
Université de Nantes
“Representing the British and American Nations in Contemporary Photography of Women and Women Photographers’ Works”
This one-day conference is an opportunity to take part in an interdisciplinary event gathering researchers engaged in the study of photography, women, gender, cultural and visual studies, art theory and history. Photography of women and women photographers’ works will be considered in their various uses – whether it is to document, to record historical events, social changes, anthropological features; to depict landscapes, cityscapes, portraits, crime scenes; as contemporary art or as a marketing tool, etc. – picturing and voicing out Americanness and Britishness and exploring the potentialities of photography to define or reframe the nation.
In accepting Benedict Anderson’s postulate that “communities are to be distinguished, not by their falsity/genuineness, but by the style in which they are imagined,” (Imagined Communities, 1983), the visual representation of the nation in photography is critical in the understanding of belonging. This first conference will be interested in observing the interrelationship between national identity and representations of women as well as the role of women image-makers engaging in understanding/perceiving/**formulating the nation. How may photography build/modify/deconstruct the nation and a related sense of belonging? How can feminine/feminist photography contribute to/deconstruct this sense of belonging? How is the nation represented in these pictures of/by women (iconicity, resonances, women as over- or de- aesthecized subjects/objects/models/muses, etc.) and for whom (the other, the world, the citizen, the self)?
Assumptions of photographic truth and the very (im)possibility of representation are often questioned, as photographic representation is partial, fragmented, and perhaps illusory. The focus of this conference will be on the very ambiguity of the photograph itself, the medium/environment within which it is located, the image-maker’s conscious/unconscious intent and the various contexts which lead to multiple readings as photography is constantly open to experimentation. It is a creative and technological mode of representation that male or female pioneering photographers in the US and the UK have mastered, raising vibrant issues such as the formation of gender and its intersections with sexuality, race, class, nationality.
Every photograph that confronts us is a polysemous, dynamic image and has its own integrity but it can also be re-interpreted through new connections and juxtapositions related to the viewer’s experience, to his memory and sense of national identification/gender belonging, which serves as a filter through which visual information is understood (viewer response approach).
The social, political and historical contexts participate in the constructing and reading of the nation as articulated through representations of women. With the evolution of women’s role in the public sphere, is women’s embodiment of domesticity and the female body as allegory of the nation still prevalent and defining? Have other images of the nation through the embodiment of women emerged during specific moments and under certain conditions: the counter culture of the 60s, the conservative years of Reagan and Thatcher, “Cool Britannia” or post 9/11 and the “War on Terror”, etc.?
The orientations suggested here are non-exhaustive and should only be starting points. Proposals may be diachronic (charting short or long term trends), synchronic (focusing on case studies whether they are serial photography or single-image photography to illustrate wider concepts in various disciplinary fields), or comparative (especially to emphasize shared features which characterise UK and US photography).
We welcome 300-word abstracts in English to be sent together with a short biographical note via email to jane.bayly(a)univ-nantes.fr and julie.morere(a)univ-nantes.fr.
Deadline for submission: 15th November 2012
jeudi 2 août 2012
Prix de thèse Genre - Ville de Paris
Depuis 2006, avec le Prix de thèse sur les Études de Genre, la Ville de Paris encourage la recherche sur les relations femmes/hommes. Afin de promouvoir les politiques d’égalité et contribuer à la diffusion des connaissances sur ces sujets, la Ville de Paris, en partenariat avec l'Institut Emilie du Châtelet, décernera cette année le prix à deux lauréat-es récompensant les travaux de thèses réalisés dans un établissement parisien traitant des questions de genre. En 2012, ce prix est initié conjointement par Fatima LALEM, adjointe au Maire de Paris chargée de l'égalité femmes/hommes et Jean-Louis MISSIKA, adjoint au Maire chargé de l'innovation, de la recherche et des universités.
Ainsi, cette année, le prix sera porté à 10 000 €, 5 000 € pour chacun-e des deux lauréats-es. Il marque ainsi la volonté et l’intérêt de la Ville de Paris pour que les études de genre s’affirment comme un sujet de recherche fondamental dans le milieu universitaire, quelles que soient les disciplines concernées.
Les candidatures seront déposées en ligne. Le règlement, les questions-réponses et toutes les pièces nécessaires aux dépôts des dossiers pourront être consultés à cette adresse :
http://www.paris.fr/pro/chercheurs/2d3es-appels-a-projets/prix-de-la-ville-de-paris-pour-les-etudes-de-genre/rub_9587_stand_75217_port_23607
L'appel à projets est en ligne et la date limite de dépôt des candidatures est fixée au 25 septembre 2012.
Pour être éligibles, les jeunes universitaires français ou étrangers doivent avoir soutenu leur thèse :
- dans un établissement d’enseignement supérieur et de recherche parisien
- et depuis moins de 5 ans, soit après le 1er janvier 2007.
jeudi 14 juin 2012
Fémininmasculin. Hier et aujourd’hui, ici et ailleurs
Appel à communications pour le colloque international FÉMININMASCULIN Hier et aujourd'hui, ici et ailleurs
6, 7 et 8 mars 2013, LIMOGES (FRANCE)
Ce colloque est organisé par le réseau ALEC (Amérique Latine, Europe, Caraïbes) « Relations de genre et pratiques sociales », au sein du laboratoire de recherche FRED (FRancophonie, Education, Diversité) de l'Université de Limoges.
Il s'inscrit dans une perspective pluridisciplinaire (histoire, anthropologie, éducation, sociologie, juridique, linguistique+) et une démarche empirique.
Tous les détails sur le site du RING
LE DANDYSME ET SES REPRESENTATIONS
Journées d’étude organisées par le Centre Transdisciplinaire d’Epistémologie
de la Littérature (CTEL EA 6037), les 7 et 8 décembre 2012
UFR LASH - Nice Sophia Antipolis
« Le dandysme est l’affirmation de la modernité absolue de la
Beauté » (Oscar Wilde, Quelques maximes pour l’instruction des personnes
trop instruites)
Cliquez ici pour le texte de cadrage, la bibliographie sélective et les infos pratiques.
lundi 11 juin 2012
Women and Knowledge in the Mediterranean
Women and Knowledge in the Mediterranean, edited by Fatima Sadiqi, is being published by Routledge in hardback as a part of a newly created series called Routledge Advances in Mediterranean Studies. Here is the link for a pre-order.
The book contains an introduction by the editor and four parts enclosing 14 chapters: women and written knowledge; women and oral knowledge; women, legal, religious and economic knowledge; and women and media knowledge. Here are the chapters and authors’ names:
-“A Skeptical Cast of Mind” by Marjorie Lightman”
- “Women and Knowledge in Italy and Venice During the Early Modern Period” by Paola Malpezzi
-“Seven Francophone Mediterranean Women Writers Speak Out Inside and Outside” by Evelyne Accad
-“Moroccan Women Authors of French Expression: Feminine Voices of “la Littérature-Monde” in the Age of Globalization” by Valérie Orlondo
- “The Necessity of Having it Both Ways: Tradition, Modernity, and Experience in the Works of Hélé Béji” by Mary Barnard
-“Textual Orality and Knowledge of Illiterate Women. The Textual Performance of Jewish Women in Morocco” by Joseph Chetrit
- “Berber Women’s Oral Knowledge” by Fatima Sadiqi
-“Morocco’s 2004 Family Code Moudawana: Improving Access to Justice for Women” by Leila Hanafi and Christine Pratt
-“Women’s Access to Legal Knowledge: The Case of Palestinian Women’s NGOs in Israel” by Liat Kozma
- “Women and Religious Knowledge: Focus on Muslim Women Preachers” by Moha Ennaji
-“Women and Reproductive Knowledge in the Mediterranean” by Rachel Newcomb
-“Contextulaizing the Gender Representation in Cyprus Television” by Mary Koutselini and Sofia Agathangelou
-“Gender and Political Engagement: A Role For The Media in Malta” by Carmen Sammut
-“Stepping Out: Women Blogging in Their Discontents” by Marlyn Tadros
lundi 4 juin 2012
Revue en ligne : Les Grandes figures historiques dans les lettres et les arts
Nous signalons la création de cette nouvelle revue, disponible sur http://figures-historiques.revue.univ-lille3.fr/. Bien que la perspective soit plus large que celle des femmes/sexe/genre et qu'elle ne soit pas spécifiquement orientée vers le monde anglophone, elle est susceptible de vous intéresser, peut-être pour y publier vous-mêmes des articles.
Dans ce premier numéro, un article en particulier : Anne-Marie LE BAILLIF, Une déclinaison de Jeanne d’Arc : Marie Stuart
mercredi 30 mai 2012
Call for Papers: Collisions, Coalitions and Riotous Subjects: The Riots one year on. A one-day conference
***New speakers added***
Over the past year, academics have brought critical perspectives to bear on the complex causes and consequences of the English riots of 2011. These interventions have unsettled the easy answers offered by politicians and the police. Important questions have been raised about the relationship between the riots and the increasingly hostile conditions of neoliberalism and Coalition policies, including: growing unemployment, rising tuition fees, the withdrawal of the EMA, cuts to Sure Start and an overhaul of welfare provision. On the 28th September 2012, The Weeks Centre for Social and Policy Research (London South Bank University) – in collaboration with the Institute for Policy Studies in Education (London Metropolitan University) – will host a one-day conference designed to interrogate the relationship between the Riots and re-shaped inequalities of race, class, place, gender, sexuality in a post-crash, austerity era. As we see protests and uprisings across Europe and beyond, this will be a moment to reflect more widely on the convulsions of contemporary capitalism.
The day will include plenary panels of guest speakers from across academia and public and political life, and a series of academic papers. Confirmed speakers include: Professor Les Back (Goldsmiths College); Professor Valerie Hey (University of Sussex), Professor Val Gillies (Weeks Centre for Social and Policy Research); Owen Jones (author of Chavs: The demonization of the working-class); Dr Lisa McKenzie (University of Nottingham); Ojeaku Nwabuzo (The Runnymede Trust); Dr Clifford Stott (Aarhus University, Denmark; co-author of Mad Mobs and Englishmen? Myths and Realities of the Riots 2011); Daniel Silver (Salford Social Action and Research Foundation); Gillian Slovo (Playwright, 'The Riots') and Tracey Gore (Director of the Steve Biko Housing Assoc., Liverpool). Attendees are invited to the evening book launch for ‘Educational Diversities’ (Palgrave, Edited by Yvette Taylor).
We welcome contributions from across the career stage and from a range of disciplines including sociology, media studies, geography, education, cultural studies and criminology. We are interested in traditional presentations, posters and other innovative formats.
Abstracts are invited on themes including but not limited to:
· Encounters, exclusions and (dis)contents in regenerated city spaces
· Families, ‘parental responsibility’ and welfare regimes
· Youth, educational aspirations and work futures in an age of austerity
· Policing, Stop and Search and race relations· Gendering the ‘rioters’
· Coalition policy responses to the riots
· Sexual subjects: normativities and disruptions
Please submit proposed abstracts of up to 250 words (with contact details) to: abstracts.riotsconference(a)gmail.com Please save your abstracts with author name followed by Riots_2012. (e.g. Smith_Riots_2012). The deadline for submissions is Tuesday 5th June 2012.For more information please contact the organisers, Professor Yvette Taylor (Weeks Centre for Social and Policy Research), Dr Kim Allen, Sumi Hollingworth and Ayo Mansaray (London Metropolitan University) at enquiries.riotsconference(a)gmail.com Registration £75. Registration will be open shortly on the LSBU website. For updates you can also join our Facebook page. There are funded places for eight postgraduate students: four kindly sponsored by the Gender and Education Association and four by the British Sociological Association Youth Study Group for students studying in the areas of gender/ education and youth respectively. Please indicate if and why you would like to be considered for funding on your abstract.
mardi 29 mai 2012
France et Grande-Bretagne au prisme des revues: Past & Present, History Workshop Journal et Gender & History
Vendredi 1er juin 2012, 14h-18h
« Historiographies comparées / Historiographies in comparison.
France et Grande-Bretagne au prisme des revues / France and Britain through journals »
En présence de Steve Smith pour Past & Present, Barbara Taylor pour History Workshop Journal et Eleanor Gordon pour Gender & History ;
L’objectif de cette rencontre est de présenter et discuter certaines des principales revues du monde britannique. Past & Present,History Workshop Journal et Gender & History ont en commun d’avoir été les lieux d’expression des différents courants historiographiques issus de la tradition marxiste d’histoire sociale. Dans le débat on cherchera à développer un regard croisé, qui permettra d’établir des comparaisons et de tisser des liens entre ces courants et celles qui se développent en France dans la même période.
Institut Charles V
10, rue Charles V, 75004 Paris
Salle C 330
métro: Sully-Morland, Saint-Paul ou Bastille
mercredi 23 mai 2012
CFP: Lesbian Lives Conference 2013
15-16th February 2013, at the University of Brighton, UK. Hosted by University of Brighton LGBT and Queer Life Research Hubin conjunction with Women’s Studies Centre, University College Dublin
The theme for the 20th Annual Lesbian Lives Conference is The Modern Lesbian. Conference convenors of this two-day international and interdisciplinary conference now welcome proposals from academics, scholars, students, activists, documentary and film-makers, writers and artists. This year’s keynote speakers and guests include: Sarah Schulman, Lisa Downing, a book launch of Laura Doan’s Disturbing Practices: History, Sexuality and Women’s Experience of Modern War, 1914-18, Rachel Adams (The Modern Lesbian photography project), plus special screening/panels from the BBC (British Broadcasting Corporation).
Proposals are welcomed on (though are by no means limited to) the following:
• The Modern Lesbian?
• lesbians and (post-)modernism
• lesbians and The New Woman
• lesbians in the history of sexuality
• lesbians and modernity
• lesbian mobilities, migrations, movements and diasporas
• Age, aging, generation gaps, lifecourses and has'bians
• Bisexuals, bi-queers, and other (post-)moderns
• modern transitions, trans modernities, Trans people
• gender violence/s
• lesbians (and) technologies
• Modern media
• Modern lifestyles
• lesbians and surrealism
• lesbians, fashion and fashion statements
• Feminism and Eugenics
• Political campaigns and communities
• (emerging) communities, identities, labels and transgressions
• (traditional) weddings, (serial) marriages
• pets, animals and other non-humans
• lesbians, sex, reproduction and bed death
• the lesbian detective
• lesbian pulp
• queer temporalities, futures and futurism
• queering surrealism
The conference organisers welcome proposals for (A) individual papers, (B) sessions, (C) round table discussions, (D) workshops and (E) visual presentations or performances. (*see below for more details) This year’s conference also includes a series of film screenings, which will run concurrently with the main programme. We encourage submissions across all genres, both fact and fiction which align to the conference theme, and which have been produced within the last two years.The Lesbian Lives Conference is open to all genders and any political and sexual orientations. There is an ethos of welcome and accessibility.
E-mail proposals of no more than 300 words to LGBTQ(a)brighton.ac.uk.
jeudi 10 mai 2012
Programme de l'atelier au congrès SAES - Limoges
vendredi 11 mai – après-midi – salle D-239
14h30 – 16h00 | Laurence Gervais (Paris VIII – Vincennes-Saint-Denis) « De la transparence à l’invisibilité: assignations genrées normatives dans la ville américaine et visibilités/invisibilités féminines » |
---|---|
Nassera Zmihi (Rouen) « La visibilité des femmes sans-abri à Londres depuis les années 80: tabou ou un défi au corps féminin? » | |
16h00 – 16h30 | Pause café |
16h30 – 18h00 | Karine Rivière-De Franco (Orléans) « Les femmes députés, le Parlement et la presse: activité, invisibilité et miroir déformant » |
Marc Calvini-Lefebvre (Aix-Marseille) “Piercing the Fog: Identifying ‘Feminism’ in the Context of Total War” | |
Sophie Croisy (Versailles – Saint Quentin en Yvelines) “Democratizing Sexuality: the Need for Sexual Transparency in Public Spaces and Discourses” |
samedi 12 mai – matin – salle D-239
9h00 – 11h00 | Gilbert Pham Tran (Paris XIII – Nord) « Transparences wildiennes dans quelques textes de Max Beerbohm: entre inconsistance et persistance du masculin » |
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Margaret Gillespie (Franche-Comté) “Invisible Darkness: Gender and Racial Identity Configurations in Nella Larsen’s Passing (1929)” | |
Georges Letissier (Nantes) “From ‘the World and his Wife’ to The World’s Wife: Carol Ann Duffy’s Poetics of Voicing Famous, Anonymous Celebrities” | |
11h00 – 11h15 | Pause café |
11h15 – 12h30 | Assemblée générale de la SAGEF Lien vers le site du congrès |
Conférences Genre et Parenté
Marie-Blanche TAHON , sociologue, spécialiste de la famille, de la parenté et des études de genre, professeure à l'université d'Ottawa, professeure invitée à l'EHESS (Centre Norbert Elias, Marseille) donnera trois conférences pendant son séjour :
- mardi 15 mai de 15h 17h à Paris, salle 7, EHESS, 105 boulevard Raspail, 75006, dans le cadre du séminaire "Genre, personne, interlocution" (séquence II sur l'AMP) de I. Théry, M. Gross, J. Merchant et L. Brunet : La Procréation Assistée au Québec et l'Assistance Médicale à la Procréation en France : du plus loin au très proche".
- mardi 22 mai de 17h30 à 19h à Marseille, salle A, EHESS, La Vieille Charité, 2 rue de la Charité 13002, Conférence au Centre Norbert Elias : "Procréation assistée et homoparenté au Québec".
- jeudi 31 mai de 17h à 19h Marseille salle B, EHESS, La Vieille Charité, 2 rue de la Charité 13002, dans le cadre du séminaire "Histoire et Epistémologie de la distinction de sexe" d' Agnès Martial et al. : "Québec : le poids de l'avortement sur la gestation pour autrui".
mercredi 2 mai 2012
Fiction(s) du masculin. Discours et représentations des masculinités dans les littératures occidentales
Colloque international organisé par Bernard Banoun (EA 3556, Paris Sorbonne), Anne Tomiche (CRLC - EA 4510, Paris Sorbonne), Mónica Zapata (ICD, Université François-Rabelais, Tours)
31 mai, 1er et 2 juin 2012 Université François-Rabelais, Tours, et université Paris-Sorbonne (Paris IV)
Programme complet et détails sur la page web du colloque
TRADUCTION, GENRE & IDENTITÉ : femmes & traduction
Journée d'Etudes le 15 mai 2012, 'Femmes et traduction' au CETIM, Université de Toulouse II-Le Mirail avec Luise von Flotow.
Tous les détails ici
lundi 23 avril 2012
Parution: Les féministes de la deuxième vague
Christine Bard (dir.), Les féministes de la deuxième vague, Presses Universitaires de Rennes, avril 2012.
Cet ouvrage retrace l’histoire du féminisme à la lumière de celle des féministes, dans la période de l’après Mai-68. Qui est féministe ? Pourquoi ? L’ouvrage insiste sur la diversité des féministes en France, au-delà du MLF, grâce à de multiples voix de militantes associatives, d’artistes, de syndicalistes, d’intellectuelles, toutes attachées également à d’autres causes, groupes, classes ou identités… Unies ? Non, pas toujours. S’ignorant même, parfois.
Cet ouvrage retrace l’histoire du féminisme à la lumière de celle des féministes, dans la période de l’après Mai-68. Qui est féministe ? Pourquoi ? L’ouvrage insiste sur la diversité des féministes en France, au-delà du MLF, grâce à de multiples voix de militantes associatives, d’artistes, de syndicalistes, d’intellectuelles, toutes attachées également à d’autres causes, groupes, classes ou identités… Unies ? Non, pas toujours. S’ignorant même, parfois.
ISBN : 978-2-7535-1808-7
Prix : 18 €Auteur(s) :
Christine Bard est professeure d’histoire contemporaine à l’université d’Angers (CERHIO/CHSP), présidente de l’association Archives du féminisme.
CFP Sexed Subjectivity
Kisses and a Love Letter
Reading Sexed Subjectivity in Anglophone Literature and Visual Arts after Lacan’s Seminar XX
One-day International Conference:
Friday, March 22, 2013 at the University of Franche-Comté, Besançon, France
Contact: Jennifer Murray (Associate Professor, North American Literature, Université de Franche-Comté). Please e-mail a 300-500 word abstract to jmurray(a)univ-fcomte.fr by June 15, 2012. Papers (25 minutes) will be given in English.
Reading Sexed Subjectivity in Anglophone Literature and Visual Arts after Lacan’s Seminar XX
One-day International Conference:
Friday, March 22, 2013 at the University of Franche-Comté, Besançon, France
In the field of Anglophone studies in France and elsewhere, Lacanian theory remains an omnipresent marginality. Like Freud, Lacan is amply cited in current critical papers, but generally as a ‘peppering’ element, rarely as a fully assumed structuring theory of reading. It is to those who are engaged in a process of reading and deciphering subjectivity from within a Lacanian critical orientation that this call is primarily addressed. As an emanation from a research group interested in questions of gender and sexual identity, this conference will be particularly attentive to the intersection between the arts and women and to the implications of the Lacanian formulas of sexuation and the concepts of love, desire, and jouissance. In other words, it will take as its key text, Seminar XX : Encore (1972-1973), translated into English by Bruce Fink in 1992, and explored from diverse perspectives in Reading Seminar XX: Lacan’s Major Work on Love, Knowledge, and Feminine Sexuality (Suzanne Barnard and Bruce Fink, editors, 2002). Other noteworthy readings of Lacanian perspectives on sexuality appear in The Cambridge Companion to Lacan (Jean-Michel Rabaté, dir., 2003).
Like all of the seminars, Seminar XX is generally written using the roman numerals XX, letters that jump out at Anglophone eyes to form a hurdle, an obstacle to overcome, but perhaps, in the negating function of the X, they also appear to anticipate the barring of the universal of Woman. And, as the written sign for a couple of kisses sent off to the addressee, they open the way to the enigmatic chapter entitled “A love letter.”
The interface between cultural analysis and Lacanian theory has been given renewed impetus, notably through the writing of Slavoj Žižek which moves freely between theoretical exposition and analysis of cultural objects: in this respect, one might usefully consider Enjoy Your Symptom: Lacan In Hollywood and Out (1992) along with such articles as those reprinted in “Part II: Woman” of The Zizek Reader (Wright and Wright, eds., 1999) which deal more specifically with sexual theory. Another prominent Lacanian cultural analyst, Joan Copjec, author of “Sex and the Euthanasia of Reason” in Read My Desire (1995) can also be accredited with Imagine There’s No Woman: Ethics and Sublimation (2002), an impressive work of combined theoretical explication and analysis of the visual arts, in which the author questions the ‘feminine’ in radically productive ways.
Concerning Lacanian literary analysis, sustained readings are relatively few and do not generally engage with the later Lacan, but I would mention without hesitation an example from outside the domaine of Anglophone studies, namely Ginette Michaux’s De Sophocle à Proust, de Nerval à Boulgakov: essai de psychanalyse lacanienne (2008) which provides not only convincing and subtle Lacanian readings of literary texts, but also a method and purpose to the perilous enterprise of reading psychoanalytically, which is to say, a reading which attempts to bring to light the logic of desire.
The goal of this conference will therefore be to focus on sexed subjectivity, in particular on the side of the feminine, in relation to desire, love, and jouissance in the sphere of Anglophone literary and visual arts. A critical approach in dialogue with the theoretical perspectives opened up through the growing body of commentary on Lacan’s later work will be privileged as will close engagement with the letter of the written or visual text.
Joan Copjec, Distinguished Professor of English, Comparative Literature and Media Study, and Director of the Center for the Study of Psychoanalysis and Culture at the University of Buffalo, will be our keynote speaker.
This one-day international conference organized by the Gender Studies branch of C.R.I.T. (Centre de Recherches Interdisciplinaires et Transculturelles) will take place on Friday, March 22, 2013.
Like all of the seminars, Seminar XX is generally written using the roman numerals XX, letters that jump out at Anglophone eyes to form a hurdle, an obstacle to overcome, but perhaps, in the negating function of the X, they also appear to anticipate the barring of the universal of Woman. And, as the written sign for a couple of kisses sent off to the addressee, they open the way to the enigmatic chapter entitled “A love letter.”
The interface between cultural analysis and Lacanian theory has been given renewed impetus, notably through the writing of Slavoj Žižek which moves freely between theoretical exposition and analysis of cultural objects: in this respect, one might usefully consider Enjoy Your Symptom: Lacan In Hollywood and Out (1992) along with such articles as those reprinted in “Part II: Woman” of The Zizek Reader (Wright and Wright, eds., 1999) which deal more specifically with sexual theory. Another prominent Lacanian cultural analyst, Joan Copjec, author of “Sex and the Euthanasia of Reason” in Read My Desire (1995) can also be accredited with Imagine There’s No Woman: Ethics and Sublimation (2002), an impressive work of combined theoretical explication and analysis of the visual arts, in which the author questions the ‘feminine’ in radically productive ways.
Concerning Lacanian literary analysis, sustained readings are relatively few and do not generally engage with the later Lacan, but I would mention without hesitation an example from outside the domaine of Anglophone studies, namely Ginette Michaux’s De Sophocle à Proust, de Nerval à Boulgakov: essai de psychanalyse lacanienne (2008) which provides not only convincing and subtle Lacanian readings of literary texts, but also a method and purpose to the perilous enterprise of reading psychoanalytically, which is to say, a reading which attempts to bring to light the logic of desire.
The goal of this conference will therefore be to focus on sexed subjectivity, in particular on the side of the feminine, in relation to desire, love, and jouissance in the sphere of Anglophone literary and visual arts. A critical approach in dialogue with the theoretical perspectives opened up through the growing body of commentary on Lacan’s later work will be privileged as will close engagement with the letter of the written or visual text.
Joan Copjec, Distinguished Professor of English, Comparative Literature and Media Study, and Director of the Center for the Study of Psychoanalysis and Culture at the University of Buffalo, will be our keynote speaker.
This one-day international conference organized by the Gender Studies branch of C.R.I.T. (Centre de Recherches Interdisciplinaires et Transculturelles) will take place on Friday, March 22, 2013.
Contact: Jennifer Murray (Associate Professor, North American Literature, Université de Franche-Comté). Please e-mail a 300-500 word abstract to jmurray(a)univ-fcomte.fr by June 15, 2012. Papers (25 minutes) will be given in English.
vendredi 13 avril 2012
Les Objets ont-ils un genre ?
Les recherches menées sur la culture matérielle ont depuis une vingtaine d’années largement interrogé les usages sociaux des objets, en étudiant leur dimension économique, religieuse, politique ou symbolique. Pourtant, et de façon assez paradoxale si l’on songe à la façon dont s’est déployé le champ des Gender Studies depuis les années 1970, la question de savoir si les objets ont un genre
n’a jamais été posée en tant que telle, pas plus que celle de savoir ce
que le genre faisait aux objets. C’est précisément sur ces questions
que se sont penchés les auteurs de cet ouvrage, qui ont souhaité
interroger la production sociale des identités sexuées en partant de la
culture matérielle. Ouvrage interdisciplinaire, Les objets ont-ils un genre ? rassemble ainsi les contributions d’anthropologues, d’ethnologues, de sociologues et de conservateurs de musées qui se sont appuyés sur l’étude d’un ou d’une série d’objets (outils, vêtements, bijoux, ustensiles) pour examiner comment et dans quelle mesure ces artefacts participaient à la construction des identités sexuées. Cet ouvrage invite à cet égard à l’exploration des multiples interactions entre culture matérielle et construction du genre, et ce, dans les configurations sociales et culturelles contemporaines extrêmement diverses mais toujours directement mises en lumière par la fabrication et l’usage de ces objets.
Élisabeth Anstett est anthropologue, chargée de recherche au CNRS et membre de l’IRIS (Institut de recherche interdisciplinaire sur les enjeux sociaux). Marie-Luce Gélard est anthropologue, maître de conférences à l’université Paris- Descartes et membre du CANTHEL (Centre d’anthropologie culturelle).
Élisabeth Anstett est anthropologue, chargée de recherche au CNRS et membre de l’IRIS (Institut de recherche interdisciplinaire sur les enjeux sociaux). Marie-Luce Gélard est anthropologue, maître de conférences à l’université Paris- Descartes et membre du CANTHEL (Centre d’anthropologie culturelle).
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